Nouvelle Zélande

Nouvelle Zélande, « Sky is the limit » ❤️

Kia ora et Nau mai à Aotearoa, le « pays du long nuage blanc ».

La Nouvelle Zélande nous a heureusement réservé un meilleur accueil la seconde fois 😅 Nous arrivons frais, reposés et bronzés directement de Polynésie. Nos pupilles ne sont plus dilatées, aucun soupçon chnoufesque ne pèse sur nous cette fois-ci. Nous sommes les bienvenus au pays des kiwis 😊.

D’ailleurs les kiwis, les kiwis ou les kiwis ? Sans aucune hésitation, les kiwis jaunes auront eu ma préférence. Tellement charnus, gouteux et juteux ! Miam ! Les kiwis bruns se sont faits plutôt discrets. Et dire qu’ils ont failli se faire voler leur place de vedette emblématique par le weka, cet oiseau curieux et presque impertinent pour sa part ! Quant aux kiwis blancs, j’avoue que nous avons joué les asociaux, blottis dans notre van à l’abri des regards, sans rechercher de contact particulier. Je dois dire aussi que je comprenais beaucoup mieux les kiwis jaunes que les kiwis blancs. Mais quel accent chez les blancs ! J’ai voulu leur suggérer d’articuler, de cracher leur double malabar et leur souffler que la langue est un outil bien utile pour parler mais j’ai fini par abandonner, préférant retourner discuter nutrition avec les jaunes 😅.

Quelques jours à Christchurch nous ont permis de visiter les lieux et d’organiser notre suite. Exploration à trottinette dans cette ville qui se reconstruit après les terribles tremblements de terre de 2011. Pas de vrai centre, un charme à part, une ambiance sympa et sereine entre ancien en reconstruction et nouveau. Capitale mondiale du street art, les graffitis se sont multipliés dans la jungle urbaine d’après séisme qui faisait peine à voir. Les parcs et jardin botanique sont superbes et verdoyants. Un sacré bol d’oxygène en pleine ville.

Notre objectif néo-zélandais est clairement identifié : trouver un van pour sillonner l’île du Sud. Camping sauvage en pleine nature, liberté totale, heureuse autonomie. Il était impensable pour moi de découvrir la Nouvelle Zélande autrement.

Oui mais voilà, nous sommes en janvier, donc en été (oui je sais… 😅) et la saison bat son plein ! Les locations de van sont chères et surtout, ils sont pris d’assaut. Bonne chance aux opportunistes de toute dernière minute que nous sommes. Alors quand ce petit van s’est présenté à nous et qu’on a compris qu’il serait sans doute notre seule option dans un budget acceptable, on a signé ! Et quelle réjouissance !!! Nous voilà partis pour un mois d’aventure en totale liberté ! Que du bonheur 🤩.

Notre van est minuscule et disons que physiquement, euh… il a un style bien à lui… Eric, toujours flatteur et valorisant, n’aura de cesse de dire qu’il est moche. Pour moi, il est parfait et je sais qu’il nous emmènera jusqu’aux étoiles ! C’est lui qui le dit : « Sky is the limit » ❤️ (Sky, son petit nom pour les intimes 😉).

Je disais donc… minuscule… Cela veut dire, moins d’un mètre carré pour se tenir debout (si on considère que se tenir debout sur la banquette ou sur la table n’est pas quelque chose de naturel. Mais on peut se tenir debout ! Et largement même puisque Sky est conçu pour accueillir 3 personnes (oui je sais aussi 😂😂😂) avec la possibilité d’un second lit dans le toit. Eric et moi ayant décidé de ne pas faire chambre à part, cet emplacement, non déplié, nous servira donc de rangement.

L’avantage de devoir plier et déplier le lit tous les jours (c’est salon ou chambre, il faut choisir !), et bien c’est que le lit s’installe dans la longueur du véhicule, ce qui veut dire que la largeur du lit fait la largeur du véhicule ! Nous avons donc un lit king size de 170 cm dans notre pocket Sky ! Y’a pas à dire, c’est vraiment le grand luxe !

40 litres d’eau claire (ça parait beaucoup mais ce n’est pas beaucoup), un frigo grand comme une boite à chaussures mais une boite à chaussures étonnamment profonde (couchée sur le sol, je pouvais entrer mon bras presque jusqu’à l’épaule 😳), une douche solaire extérieure (froide évidemment puisqu’il était un peu compliqué de la laisser suspendue à la portière en roulant la journée et que bizarrement, la lune ne réchauffe pas l’eau 🤔), des WC portatifs (et purement décoratifs), élément pourtant indispensable à la classification de Sky dans la catégorie des véhicules « self contained », qui permet le camping sauvage.

De plus en plus d’endroits ne sont autorisés qu’aux véhicules « self contained » et le camping sauvage est de plus en plus règlementé. Abus, dérives, incivilités, c’était couru… Des zones interdites plus nombreuses, des zones autorisées mais de moins en moins gratuites. D’ici quelques mois, les WC portatifs ne permettront plus la classification en véhicules « self contained ». On l’a donc échappé belle et on reste optimistes ! Pas question de passer nos nuits dans des campings. On trouvera nos petits coins de paradis seuls au monde, je n’en doute pas !

Un panneau solaire sur le toit pour les batteries de l’habitacle, ok !
Quelques ports USB dans le véhicule, waouh !
Différentes prises allume cigare à disposition selon les besoins, parfait !

– Et donc, on peut bien sûr brancher des appareils en 220v, comme indiqué dans le descriptif, n’est-ce pas ?
– Oui aucun problème, à condition de brancher le véhicule sur du 220v évidemment ! Ha ha !
– Ah… il y a donc du 220v sur la plage, en montagne et en forêt ??? Ha ha ha !
– Ha ha ha ha ! Ben au camping voyons !!!
– Ha ha ha ha ha ha haaaaaa mais alors pas du tout ma p’tite dame ! On n’a pas loué un van pour dormir en camping ! Et moi, j’ai besoin de brancher mon ordinateur pour travailler !!!

C’est là que la dame a sorti des tréfonds d’un vieux placard, « la chose » ! En la tenant du bout des doigts, comme si ça pouvait exploser à tout moment, elle nous a demandé si c’est de ça qu’on avait besoin. Eric a ausculté « la chose », a constaté qu’au vu du bruit qu’elle faisait en la secouant, on aurait pu s’en servir de maracas, l’a testée, a constaté que ça ne marchait pas, a demandé un stylo à bille à la dame, a démonté le stylo à bille, a pris le ressort, a intégré le ressort dans « la chose », l’a testée, a constaté que ça marchait.
Comme si « la chose » risquait encore plus d’exploser après l’intégration du ressort, la dame nous a demandé : « Vous êtes bien sûrs ? »
Mais on est carrément sûrs ma p’tite dame et maintenant, on se caaaassssse ! La route nous attennnnd !!! 🤩
Eric, mon héros 😍.

– Euh chéri on roule à gauche ici !!!
– Attention on se concentre… au croisement, je regarde donc… euh… à gauche ben non à droite du coup 😅.
– Ferme les yeux, vas-y et reste au milieu, c’est plus sûr ! Et les essuie-glaces en guise de clignotant, ça ne fonctionne pas chéri… 😂

Mais au fait, on va où ?? On est partis pour faire le tour de l’île du Sud. Mais dans quel sens ?
Pourquoi tout le monde propose de partir vers le Nord alors que spontanément, on serait partis vers le Sud ?? Vu qu’on aime bien aller à contre sens et ne pas faire comme les autres, on partira donc vers le Sud, comme nous le soufflait notre intuition. On a eu du bol que nos intuitions à Eric et moi soufflent dans le même sens, ça n’arrive pas tous les jours, alors on n’a pas hésité longtemps 😅.

Et on aura finalement réussi à passer toutes nos nuits sur des spots en pleine nature, loin de la foule et des campings. Évidemment, on n’a pas joué les effrontés en veillant à ne pas se garer juste sous un panneau « camping-car interdits » pour éviter d’être réveillés en sursaut en pleine nuit avec une jolie amende à la clé.

On a parfois roulé longtemps pour dénicher un petit coin agréable et discret. On a parfois aussi dû se résoudre à se satisfaire d’un endroit moyen mais correct pour une nuit. On a été émerveillés par des spots-cadeaux incroyables, des endroits magnifiques gravés pour toujours dans nos mémoires.

Et on a surtout été ultra respectueux des sites qui se sont offerts à nous. 0 déchet, 0 papier, 0 trace de nous, tout est emporté, sauf une petite partie de notre cœur qui restera sur place pour toujours. J’ai remercié, avec beaucoup de gratitude, chaque lieu qui nous a accueilli. Un au revoir émouvant, la petite larme à l’œil ❤️.

Et alors, quel est le top 3 de nos meilleurs spots dodo du voyage ?

Notre spot dodo de Slope Point, on l’a déniché grâce à l’application. En arrivant, on a vu une jolie aire en bord de plage, plate, dans la végétation. Il y avait déjà quelques véhicules mais on sentait assez bien le lieu. Tiens regarde, y’a quoi là-bas si on contourne ? Vas-y encore un peu ? Waouh !! Nan mais waouh !! Petit coin de paradis, à quelques mètres de l’eau. A peine surélevés, bien en retrait, cachés de tous mais ouvert sur tout. Eric est devenu maître dans la manœuvre de mise à niveau de Sky. On se cale sur le rythme de la marée.
On est bien, on est chez nous ! Apérooooo !!! 🤩

On voyait bien ce lac en contre-bas, l’application nous avait signalé un point dans le secteur. On est passés, revenus sur nos pas. On a déniché le passage. Waouh et encore waouh !!! Une grande plage de galets, quelques véhicules éparpillés, de la place pour que chacun se sente à son aise. Le lac est splendide, le paysage montagneux grandiose avec quelques sommets lointains encore enneigés même en plein été. Magnifique !
On est bien, on est chez nous ! Apérooooo !!! 🤩

Bain matinal dans une eau cristalline à 16 degrés. J’ai failli perdre mon cœur et mes pieds ! J’ai finalement survécu… Bain de départ quelques heures plus tard dans une eau toujours aussi cristalline à 19 degrés cette fois avec un cœur et des pieds déjà plus coopératifs.

Première aquarelle d’Eric, après avoir eu une inspiration soudaine et s’être équipé en petit matériel à Te Anau. Il va devenir peintre, c’est sûr 😉.

Ce qui n’aura pas été le cas des étoiles ! Des milliers de diamants dans une voie lactée presque laiteuse. Un ciel noir étincelant, pailleté, saupoudré de poussière lumineuse. J’en ai mal à la nuque mais je suis subjuguée. Un des plus beaux ciel étoilé qu’il m’ait été donné de voir. Fascinante beauté à l’état pur.
On est bien, on est chez nous ! Apérooooo !!! 🤩

Dans un top 3, il y a 3 tops en général. C’est un peu le concept. Mais exceptionnellement, ce sera un top 3 à 4 tops !!! Et pourquoi pas d’abord ??

Nous dénichons notre spot dodo à quelques kilomètres de là. Nous osons pénétrer dans une végétation abondante par un accès tout en secret. Et quelle surprise ! Une jolie place légèrement surélevée révélant des rochers abrupts et une vue à l’infini sur l’océan. Quelques tentes sont planquées sous les arbres (visiblement des habitués de ce lieu intime). Quelques allers et venues de pêcheurs puis une soirée et une nuit dans un calme absolu.
On est bien, on est chez nous ! Apérooooo !!! 🤩

Tiens c’est quoi là bas chéri ? C’est loin mais ça bouge sacrément dans l’eau !!! Passe-moi les jumelles !
Des dauphins !!! Des dauphins !!! 10, 40, 80, 100 ??? Innombrables ! Ils sont des centaines ! Et ils se sont visiblement lancés dans un concours olympique de salto !

Mais quel spectacle merveilleux de les observer aux jumelles depuis notre spot pour la nuit. Je resterai avec eux, dans ma chaise de camping, emmitouflée dans mon plaid, les jumelles scotchées aux pupilles, jusqu’à ce que la nuit noire m’empêche de les admirer. Heureusement, le ciel étoilé, toujours aussi époustouflant, a pris la relève pour l’acte 2 du spectacle ❤️.

Au réveil, je n’ai qu’une seule question en tête ! Les dauphins sont-ils encore là ? Je dégaine les jumelles et après quelques secondes, le ballet s’offre à nouveau à moi ! Ils ne s’arrêtent donc jamais ! Cet endroit est un cadeau !

Et Lumsden alors ?? Au beau milieu d’un bled a priori sans intérêt (nous cherchions à faire la vidange des eaux grises et le plein en eau claire, gros programme donc 😅).
Tiens une laverie automatique ! Et si on faisait une machine ?
Tiens un tout petit salon de coiffure ? Et si je faisais une coupe/shampoing pour dompter un peu ma crinière folle ?? Je n’ai rien fait depuis 6 mois qu’on est partis et ça se voit. Surtout, ça se sent ! Au poids qui pèse sur ma tête, pas à l’odeur 😉. Une coiffeuse adorable, aux cheveux bleus, et aux techniques de coupe totalement inconnues (faudra que j’en parle à Régis 😅) s’est occupée de moi.

Ses cheveux bleus m’ont d’ailleurs bien moins inquiétée que l’observation d’un nombre beaucoup trop élevé de coupes mulet dans les parages. Mais les coupes mulets de la première génération vous voyez ! Celles des années 80, dans les campagnes. D’ailleurs, on a souvent eu l’impression de se balader dans une autre époque, la campagne des années 80 justement… ou les USA des années 80, oui c’est ça !

Dieu merci, je ne suis pas ressortie avec une coupe mulet du Willow Society de Lumsden et j’ai passé un bon moment avec Grainne qui s’extasiait de tout ce que je lui racontais tout en donnant d’interminables coups de ciseaux anarchiques dans ma tignasse. Le résultat s’est finalement avéré plutôt satisfaisant, ouf 😅.

39 ans, toutes mes dents (retrouvées) mais plus qu’un œil…
Après la dent, l’œil !! Tintintin !!!
Quand tu veux enlever ta lentille de contact, mais que elle, elle veut vraiment rester dans ton œil…
Quand il fait nuit noire dehors et que ta seule lumière, c’est le plafonnier blafard de Sky…
Quand ton seul miroir, c’est le tout petit rétro intérieur de Sky…
Quand tu soupçonnes ta lentille de s’être planquée sous ta paupière et que tu t’exploses l’œil pour la récupérer à tout prix…
Quand tu décides d’abandonner, sur les recommandations d’Eric, juste avant la cécité définitive…
Quand tu finis par admettre que de toute façon, elle ne pourra pas rester sous ta paupière ad vitam aeternam…
Mais quand 48 heures après, elle n’est toujours pas sortie de sa cachette, ben tu changes d’hypothèse et tu espères, du fond de l’œil, qu’elle est tombée quelque part dès la première tentative…
Quand enfin, 3 jours après, tu retrouves un minuscule morceau de plastique flétri et durci dans un repli du siège de Sky, tu te dis que c’est quand même super dangereux une lentille de contact et que les lunettes, ce sera bien aussi pour les prochains jours… 😅😅😅

Je disais donc, 39 ans, toutes mes dents (retrouvées), mes deux yeux (retrouvés aussi) et mon unique nez en moins, sauvagement attaqué par notre jerrican d’eau de 23 litres…
Notre super « douche solaire qui ne chauffe pas sous les rayons de la lune », ayant rendu l’âme et l’eau (par le même trou d’ailleurs), nous avons eu la brillante idée de placer le jerrican en équilibre sur le haillon ouvert de Sky pour notre douche fraîche matinale. Visiblement, le jerrican ne l’entendait pas de cette oreille quand il s’est lâchement abattu de tous ses 23 litres sur moi, emportant avec lui mon pauvre petit nez… du sang, des larmes et quelques jours de sensibilité mais pas de casse heureusement 😅.

Vrai coup de cœur pour la ville de Queenstown. Charmant petit bourg au bord de l’eau, très branché, très sympa, avec beaucoup de bars, de restos et de boutiques.
Au moment où Éric me dit, « je me ferais bien une bonne viande d’ici pour goûter », je lis sur un article qu’il faut absolument aller manger au Captains. Ambiance cheminée et bougies, super cuisine locale et raffinée ! D’autant que ce sera notre unique resto pendant notre Sky trip. Au menu, moules vertes (une spécialité locale), filet de bœuf local pour Éric et saumon du mont Cook pour moi. Avec un délicieux Syrah de NZ. Un délice sur toute la ligne 😋.

Et ce n’est pas tout ! La Nouvelle Zélande, c’est aussi :

• Une campagne rurale avec énormément de grandes propriétés privées et clôturées ainsi que des pâturages pour les moutons, les moutons, et encore les moutons.

• Des aliments « comme chez nous » et des repas « comme à la maison », sains et gourmands, dont des bruschettas délicieuses, des miam aux fruits gargantuesques, des cookies presque aussi bons que des faits maison et des aubergines à la parmigiana incroyables cuisinées par Eric pour notre dernière soirée 😋.

• Basile, notre compagnon de route, fidèle et courageux jusqu’à sa dernière feuille 😢.

• Une quantité de panneaux routiers « animaux » improbables, qu’on ne risque pas de trouver chez nous 😍 !

Et pour finir, un petit aperçu de notre itinéraire de 4.000 km en Nouvelle Zélande

Départ de Christchurch.
Akaroa (charmant village français) et nuit vers Duvauchelle (en bord de baie).
Route et nuit au bord du lac Ophuha.
Lac Tekapo et nuit au lac Poaka.
Mont Cook puis route direction Twizel en longeant le lac Pukaki.
Nuit près de Awamoko.
Nuit le long de la mer à port Chalmers.
Dunedin et la péninsule d’Otago avec ses albatros.
Nuit en bord de plage à Brighton.
Nuit agitée près de Mitchell rocks, dans la tempête.
Nugget point (magnifique !!!) Un de mes endroits préférés en Nouvelle Zélande.
Puis Curio bay.
2 nuits à Slope point.
Bluff et Invercargill.
Nuit vers Limehills (pas génial mais a fait l’affaire pour une nuit tranquille).
Arrêt vidange, laverie et coiffeur à Lumsden.
Nuit à Manapouri au bord du lac.
Parc national du Fjordland.
Puis Te Anau. Ici, les hydravions s’amarrent !
Milford Sound et les fjords.
Magnifique Route 94 à travers une végétation luxuriante, des lacs et rivières aux eaux translucides.
Des montagnes et des cascades qui tombent à pic par dizaines ! Impressionnant !
De la pluie et des sandfly ! Des bêtes démoniaques !
Nuit vers le lac Marian.
Queenstown, très touristique mais très sympa !
Nuit au Moke lake.
Route vers Glenorchy, le long du lac Wakatipu, magnifique !
Arrowtown et les chercheurs d’or ! Adorable petite bourgade.
Coup de cœur pour Wanaka !!! Très touristique mais très plaisant avec son magnifique lac.
Nuit au bord du lac Hawea.
Beau morceau de route et nuit près de Fox Glacier.
Lac Matheson.
Nuit à Whataroa.
Pancake rocks à Punakaiki.
Route vers Westport.
Nuit le long de la rivière Buller.
Route sous la pluie vers Murchison.
Nuit à Murchison, toujours sous la pluie.
Magnifique route en lacets jusqu’à Takaka. Retour d’un grand soleil !
Nuit au bord de l’eau à Washbourn Réserve.
Retour vers Takaka.
Kaiteriteri et Motueka.
Richmond et Nelson.
Route en lacet de Hira.
Nuit sur spot moyen après avoir roulé et cherché mais un ciel toujours aussi incroyable.
Route vers Picton. Superbe petite bourgade balnéaire où il fait bon vivre. Jolie vue sur les Marlborough Sounds.
Toranhugan track.
Nuit dans les hauteurs campagnardes entre Blenheim et Seddon.
Magnifique route en bord de mer.
Nuit vers Waipapa bay.
Route vers Kaikoura, merveilleuse péninsule.
Dernière nuit sous la pluie entre Kaikoura et Christchurch avec des aubergines à la parmigiana cuisinées par Éric ! Un délice !